Dans la soirée du jeudi 5e jour du mois sacré de Ramadan, la ville de la Qalâa (région d’Inzegane) a été secouée par une tragédie incompréhensible. Un homme et une femme ont perdu la vie, tués de manière atroce par leur propre fils, dans des circonstances qui demeurent encore floues. La rumeur veut que ce dernier souffre de troubles mentaux, ce qui aurait pu jouer un rôle dans cet acte criminel choquant.
Ce drame survient dans un contexte particulièrement troublé, car le jeune homme venait de sortir de prison, ayant purgé une peine pour un autre crime, celui du meurtre de son neveu dans la ville d’Essaouira. Bien que la famille ait espéré un nouveau départ, il semble que la situation psychologique du fils n’ait pas permis une véritable réhabilitation.
Cet événement soulève de nombreuses questions sur la prise en charge des troubles mentaux au Maroc, notamment lorsque des facteurs liés à la santé mentale influencent des décisions tragiques. La communauté locale, tout comme les autorités, se trouvent aujourd’hui face à l’horreur d’un acte impensable.